/lit/ - Literature

>>22018638

>>19703523
*Blocks your path*

>>19303208

He's OK

>>18270494

Will never pass up a chance to post this.

>>17393177

I exploit any excuse to post this

>>16382636
Whiny nihilist tries to make friends while being clearly insane.

>>15762896

>>14263296
That's just manlet seething

Try Céline.

>>13862712

Basic normies travel the world?

>>13862731

Nice. Has a Magic Mountain vibe to it.

>>13862633

What are you studying for grad school?

on my phone, on my laptop whatever. I have a notebook on my phone where I jot down ideas. stories in progress (incomplete 1st drafts) are on Google docs so I can work on them whenever. I abandoned pen and paper bc I realised how inefficient it is. as a 21 yo writer I have to keep rearranging my sentences so they flow into each other properly and that shit is impossible without a word processor when you're juggling plot events and all simultaneously. makes you respect Kafka and all those fucks who wrote on pen and paper.

the second best option would probably be a transcriptionist, like Celíne or Dostoevsky used. pen and paper is much too tedious. it hampers the fictional process especially for a young writer.

>>13399045
>j-just don't think about it
lmao

>>13358443
>j-just don't think about it
coping kekold

>>13343383
lmao

Reading Artaud's letters to his family and various girlfriends.

When Bardamu leaves Molly in Detroit and later has to sell the phonograph and then hears the same music she would play when he's with Robinson at a cafe.

>>13250366

Always looking for an excuse to post this one

> Dans mon cul où il se trouve, on ne peut pas demander à J.‑B. S. d'y voir bien clair, ni de s'exprimer nettement, J.‑B. S. a semble-t-il cependant prévu le cas de la solitude et de l'obscurité dans mon anus... J.‑B. S. parle évidemment de lui-même lorsqu'il écrit page 451 : "Cet homme redoute toute espèce de solitude, celle du génie comme celle de l'assassin." Comprenons ce que parler veut dire... Sur la foi des hebdomadaires J-B. S. ne se voit plus que dans la peau du génie. Pour ma part et sur la foi de ses propres textes, je suis bien forcé de ne plus voir J.‑B. S. que dans la peau d'un assassin, et encore mieux, d'un foutu donneur, maudit, hideux, chiant pourvoyeur, bourrique à lunettes. Voici que je m'emballe ! Ce n'est pas de mon âge, ni de mon état... J'allais clore là... dégoûté, c'est tout... Je réfléchis... Assassin et génial ? Cela s'est vu... Après tout... C'est peut-être le cas de Sartre ? Assassin il est, il voudrait l'être, c'est entendu mais, génial ? Petite crotte à mon cul génial ? hum ?... c'est à voir... oui certes, cela peut éclore... se déclarer... mais J.‑B. S. ? Ces yeux d'embryonnaire ? ces mesquines épaules ?... ce gros petit bidon ? Ténia bien sûr, ténia d'homme, situé où vous savez... et philosophe !... c'est bien des choses... Il a délivré, parait-il, Paris à bicyclette. Il a fait joujou... au Théâtre, à la Ville, avec les horreurs de l'époque, la guerre, les supplices, les fers, le feu. Mais les temps évoluent, et le voici qui croît, gonfle énormément, J.‑B. S. ! Il ne se possède plus... il ne se connaît plus... d'embryon qu'il est il tend à passer créature... le cycle... il en a assez du joujou, des tricheries... il court après les épreuves, les vraies épreuves... la prison, l'expiation, le bâton, et le plus gros de tous les bâtons : le Poteau... le Sort entreprend J.B.-S... les Furies ! finies les bagatelles... Il veut passer tout à fait monstre ! Il engueule de Gaulle du coup !